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mise ? jour : 6 janvier 2007


" " " Les ?l?phants ont fait l'objet de nombreuses recherches scientifiques. Il existe aujourd'hui une base de donn?es, nomm?e "the African Elephant Bibliography" r?pertoriant plus de 4500 articles sur l'?l?phant d'Afrique. Cette base de connaissance a ?t? d?velopp?e conjointement par le Groupe des Sp?cialistes de l'El?phant d'Afrique (AfESG) de l'Union Internationale de Conservation de la Nature (IUCN) et l'organisation non gouvernementale Save The Elephants. La r?alisation technique a ?t? confi?e ? la Chebucto Community net. Nous invitons tous les lecteurs ? consulter cette base de donn?es libre d'acc?s ainsi que la revue Pachyderm publi?e par l'AfESG.

""" A notre connaissance il n'y pas de base de donn?es équivalente sur l'?l?phant d'Asie. Nous souhaitons par ailleurs sugg?rer au lecteur int?ress? par les ?l?phants d'Asie les sites internet www.asianelephant.net et bien entendu celui du groupe des spécialistes de l'éléphant d'Asie.




Auteur(s) : Chowta, Prajna
Date : Janvier 2006
Titre: The elephant distribution and seasonal movements between Burma and India
Langue : français

Abstract : The Old Elephant Route India and Burma share a 915 mile (1,472 km) border dominated by several small mountain ranges, effectively dividing much of northeast India from the rest of Southeast Asia. Despite the importance of maintaining gene flow between Indian and Burmese populations of elephants, very little has been known about their status and migratory patterns in this region. The Aane Mane Foundation and the Asian Elephant Research and Conservation Centre supported the first baseline data compilation on elephant distribution and seasonal movements in this area. The project conducted reconnaissance surveys of this rugged border region in 2000 and 2001 and found minimal evidence of elephant movements between Burma and India. However, a substantial population of elephants was found inhabiting the western border of the Namdapha National Park in India’s State of Arunachal Pradesh. Perhaps the greatest conservation benefit these surveys provided was documenting the heavy subsistence and market poaching and encroachment by local peoples in the Namdapha National Park. This project heightened international awareness of the challenges faced by managers of this park rich in plant and animal diversity.

Contact : [email protected]

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Auteur(s) : Gheerbrant E., Sudre J., Tassy P., Amaghzaz M., Bouya B. & Iarochène M.
Date : 2005
Titre: Nouvelles données sur Phosphatherium escuilliei (Mammalia, Proboscidea) de l’Éocène inférieur du Maroc, apports à la phylogénie des Proboscidea et des ongulés lophodontes
Référence : Geodiversitas 27 (2) : 239-333
Langue : français

Abstract : « Un nouveau matériel de Phosphatherium escuilliei Gheerbrant, Sudre & Cappetta, 1996 de l’Éocène basal du Bassin des Ouled Abdoun (Maroc) permet une première reconstitution du crâne et de la denture du plus ancien proboscidien connu. […] Le crâne de P . escuilliei présente des synapomorphies notables avec les proboscidiens et les téthythères, mais il reste très primitif, proche du plan « condylarthre » généralisé. P . escuilliei est l’un des rares jalons fossiles (bien) connus de la naissance d’un ordre moderne de mammifère à ce stade. L’analyse cladistique de 129 caractères de Phosphatherium escuilliei permet un nouveau regard sur les relations des Proboscidea. Elle soutient l’appartenance de Phosphatherium aux Proboscidea et la monophylie de l’ordre. […]Les relations des proboscidiens lophodontes restent mal résolues. Deux hypothèses sont discutables : 1) un arrangement séquentiel de Phosphatherium, Daouitherium et Numidotherium à la base des proboscidiens avancés (pondération successive : PS) ; et 2) un clade (Numidotherium ( Barytherium, Daouitherium)) (analyse non pondérée). […] Dans tous les cas, Phosphatherium et Daouitherium représentent deux lignées bien distinctes et Phosphatherium est inclus dans sa famille Phosphatheriidae n. fam. Les caractères originaux de Phosphatherium restent discrets, ce qui en fait l’ancêtre structural de l’ordre des Proboscidea. […] L’anatomie crânienne remarquablement plésiomorphe de Phosphatherium contraste avec sa lophodontie vraie identique à celle de Numidotherium et Barytherium. Cela suggère une adaptation trophique spécialisée (régime follivore) précoce dans le paléoécosystème africain, témoin d’un possible signal paléoéocologique et évolutif remarquable et ancien dans la province arabo-africaine. »

Article consultable sur : www.mnhn.fr/




Auteur(s) : Hofmeyr, Michele Vivienne
Date : April 2006
Titre: Spatial Demography of Selected Tree Species in the Kruger National Park, in relation to elephant impacts.
Langue : anglais

Abstract : The aim of this study is to identify those factors influencing selected tree species population dynamics and demography in the Kruger National Park and to what extent these factors are spatially variable in their influence. The factors considered are geology and related substrate variations, elephant impacts, fire, rainfall regime and browsing by herbivores.

Contact : [email protected]

Dossier consultable sur : t?l?charger




Auteur(s) : Lain?, Nicolas
Date : Juin 2005
Titre: Approche anthropologique des relations homme/?l?phant en Inde
Référence : M?moire de Master 2 en Ethnologie sous la direction de Dani?le Vazeilles (Pr. Ethnologie, IRSA) avec la collaboration de Vivek Menon (Biologiste, Directeur Wildlife Trust of India, New Delhi), 194 p.+ bibi., annexe.
Langue : français

Abstract : Cette recherche, entreprise dans le cadre de la mise en place de politique de gestion durable de l’espèce à l’état captif, a pour objet l’étude des relations entre les éléphants et les hommes dans le sous-continent indien. Apres une introduction sur les principales disciplines et courants théoriques qui ont pensé la relation homme/animal par le biais de la notion de domestication, la première partie est une ethnohistoire des relations Homme/Elephant en Inde. La deuxième partie est le résultat d’une enquête de terrain menée au Kerala (Inde du Sud). Il s’agissait d’étudier la place des éléphants dans les processions liées aux fêtes de temple, de dresser le profil socioprofessionnel des mahouts, et de recenser les éléphants captifs. / This research was conducted in order to purpose new view about the situation of the species in India. It aims at studying man/elephant relationship in a socio-anthropological way. The introduction deals with the mains theory and concept for studying animal domestication in a socio-anthropological way. The first part is an attempt to draw the history of man/elephant relationships in India. The second part of this work is the result of a research fieldwork made in Kerala (South India). We focused on the use of elephant during temple festivals (procession), drawed the socio-economical profil of mahouts and made a census of captive elephant.

Contact : [email protected]

M?moire consultable sur : www.ajei.org/




Auteur(s) : Tassy, Pascal
Date : 2002
Titre: L’émergence du concept d’espèce fossile : le mastodonte américain (Proboscidea, Mammalia) entre clarté et confusion
Référence : Geodiversitas 2002 24 (2)
Langue : français

Abstract : « Entre 1769 et 1778 cristallise l’idée selon laquelle il a existé des espèces fossiles, ou « espèces perdues » selon l’expression francophone utilisée par Buffon. L’acceptation définitive de l’idée d’espèce perdue, une révolution paradigmatique dans la pensée occidentale, s’est faite au travers de spécimens ramenés d’Amérique du Nord à partir desquels s’est exercée la sagacité des anatomistes français et britanniques, Daubenton notamment. Ces spécimens appartiennent au mastodonte américain, autrement dit à l’espèce Mammut americanum (Kerr, 1792). À partir d’un examen des restes fossiles actuellement conservés au Muséum national d’Histoire naturelle, Paris, on retrace les divers avatars qui se sont abattus sur les tous premiers échantillons ramenés en France en 1740. La première molaire jamais figurée (par Guettard en 1756) est ainsi identifiée et localisée pour la première fois depuis plus de deux siècles.”
“The emergence of the concept of fossil species: the American mastodon (Proboscidea, Mammalia), a history between clarity and confusion. The idea that fossil species (Buffon’s « espèces perdues », i.e., lost species) once existed was accepted between 1769 and 1778. This paradigmatic revolution in the Occidental culture was based on specimens found in North America. These specimens were studied by French and British anatomists, especially Daubenton. The fossils belong to the American mastodon, Mammut americanum (Kerr, 1792). The checking of the specimens housed in the Muséum national d’Histoire naturelle, Paris, allows to retrace the history of the earliest bones and teeth found in 1739 at Big Bone Lick, Kentucky, by the Indians who guided Longueuil’s troupe on the way to New Orleans. The earliest molar ever figured (by Guettard in 1756), a lower third molar, m3, is identified for the first time since more than two centuries. Three molars were listed in 1764 by Daubenton as specimens found by Longueuil, and allocated to hippopotamus. Since Cuvier’s statement in the early 19th century, only two of the three (two upper second molars, M2), were thought to be housed in the Muséum. The third tooth (a lower second molar, m2), also housed in the Muséum, is identified. This tooth was previously considered as a gift sent to Buffon by Collinson, and different hypotheses are given to explain this discrepancy. The two other specimens, found by Longueuil and described in detail by Daubenton in 1764 as belonging to an elephant, were a femur and a tusk. The femur has always been on display in the Muséum. Only the tusk can be considered as lost. Finally, the status of the five molars figured by Buffon in 1778 is discussed, only three of them belong to the American mastodon. In conclusion, the m3 MNHN 1643 figured for the first time by Guettard (1756) is proposed to be selected as the lectotype of Mammut americanum. »

Article consultable sur : www.mnhn.fr/




Auteur(s) : Tassy, Pascal, laboratoire de paleontologie, Museum national d’histoire naturelle
Date : 1999
Titre: Origine et evolution des elephants : un regard paleontologique
Reference : Les Amis du Museum National d’Histoire Naturelle N°200
Langue : français
Article telechargeable : non

Abstract : « En 1806, Georges Cuvier, fondateur de la paleontologie des vertebres, crea le nom de « mastodonte » afin de distinguer une espece de mammifere fossile qui ressemblait aux elephants sans en etre un. Cette espece, le « grand mastodonte » ou « mastodonte de l’Ohio », est l’une des premieres « especes perdues » (c’est-a-dire eteintes) reconnues par les naturalistes. En effet, de grosses molaires de ce animal provenant du site de Big Bone Lick dans le Kentucky, le long de la riviere Ohio, avaient ete rapportees en France par le marquis de Longueuil des 1740. Depuis, le gisement avait livre peu a peu un nombre important de restes fossiles. De brillants esprits, dont Guettard et Buffon, s’etaient interesses a ces curieuses dents, qui ne ressemblaient a rien de connu par ailleurs, alors que les os longs qui les accompagnaient se rapprochaient de ceux des elephants d’aujourd’hui. Alors, une seule espece bizarre ou bien deux especes associees, dont l’une etait un elephant ?. »



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